L’énigme des astronautes de la mission Apollo. Douze hommes ont marché sur la lune entre 1969 et 1972. Un exploit technologique et humain sans précédent qui est entré dans l’histoire. Cependant, un autre élément étrange et fascinant unit ces douze individus – un mal particulier, baptisé le « rhume des foins lunaire ».
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Des scientifiques du monde entier sont en émoi après une découverte fascinante en Sibérie. Un ver microscopique du nom de Panagrolaimus kolymaensis a été réanimé après avoir passé près de 46 000 ans dans le permafrost sibérien. Cette créature minuscule, un nématode, a été extraite à une profondeur de 40 mètres dans le sol gelé, étonnamment encore vivante malgré son long sommeil glacé.
Pour la première fois, un vaisseau spatial de la NASA a heurté un astéroïde, déclenchant une pluie de rochers dans l’espace. Un fait spectaculaire qui, au-delà de l’émerveillement, soulève de nombreuses questions quant à nos capacités de défense contre les astéroïdes et l’avenir de notre planète.
Des astronomes ont découvert des indices qui pourraient constituer la première preuve d’une planète troyenne en formation. Les objets troyens sont de petits corps rocheux qui partagent la même orbite qu’un corps plus grand, généralement une planète ou une grosse lune. C’est une réalisation majeure dans le domaine de l’astronomie, qui pourrait remodeler notre compréhension de la formation des systèmes planétaires.
L’espace, cet immense vide qui s’étend à perte de vue, suscite depuis toujours une fascination sans pareille. Mais cet univers si différent du nôtre soulève des questions qui peuvent parfois sembler déroutantes. Parmi elles, celle de l’existence d’un haut et d’un bas dans l’espace. Pourtant, la réponse n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît.
Depuis 1988, un mystère astrophysique intrigant persiste : une source inconnue émet des signaux radio en direction de la Terre tous les 20 minutes environ. Découverts par les chercheurs de l’Université Curtin du Centre International de Recherche en Astronomie Radio (ICRAR), ces signaux réguliers et persistants sont suffisamment lumineux pour être captés par nos récepteurs terrestres.
Les scientifiques qui ont découvert ces émissions d’énergie n’ont toujours pas d’explication concrète quant à leur origine. En fait, ces signaux ne semblent correspondre à aucun modèle ou phénomène connu, défiant ainsi notre compréhension actuelle des émissions d’ondes radio dans l’espace.
De façon surprenante, un astéroïde de 60 mètres de diamètre a récemment effleuré la Terre, et ce, sans être détecté jusqu’à deux jours après son passage le plus proche. Cet astéroïde, désormais baptisé 2023 NT1, a été détecté pour la première fois le 15 juillet 2023, deux jours après son approche la plus proche de la Terre.
Avi Loeb, un chercheur américano-israélien de renommée mondiale, a annoncé une découverte fascinante. En 2014, une météorite est tombée dans l’océan Pacifique, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Selon lui, cette météorite ainsi que sa « petite soeur », arrivée trois ans plus tard, auraient des origines interstellaires.
La CG 4 est une région de formation d’étoiles communément appelée « La Main de Dieu » et se trouve dans la constellation de la Poupe. À environ 1 300 années-lumière de notre planète, cette région interstellaire présente une forme étrangement similaire à celle d’une comète. Mais ne vous y trompez pas, la CG 4 est bien plus que cela.
Cette région contient un « tête » dense de gaz et de poussière d’environ 1,5 année-lumière de diamètre. Sa « queue » plus diffuse et allongée s’étend sur près de 8 années-lumière. La forme cométaire caractéristique de la CG 4 est due à l’interaction complexe entre les vents stellaires et le matériel interstellaire.
Lorsqu’on parle de catastrophes, notre esprit s’oriente souvent vers les menaces terrestres comme les tremblements de terre, les inondations et les tornades. Cependant, nous sommes également exposés à des menaces venant de l’espace, notamment les tempêtes solaires géantes. Ces phénomènes sont causés par une activité intense sur le soleil, menant à l’éjection d’une grande quantité de plasma, connue sous le nom d’éjection de masse coronale (CME).