Découverte Surprenante : Une Créature Plus Ancienne Que Les Dinosaures
Des études récentes ont révélé que la créature vivante la plus ancienne de notre planète est une organisme semblable à une méduse, appelé cténophore. Cette créature étonnante a émergé il y a environ 700 millions d’années, bien avant l’apparition des dinosaures qui ne sont apparus qu’il y a 230 millions d’années.
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Au cœur des galeries de peintures préhistoriques en ligne, Ben Bacon, un simple conservateur de meubles à Londres, a fait une découverte qui a stupéfié le monde de l’archéologie. Intrigué par la présence de petits traits et points sur plusieurs œuvres, il s’est demandé s’ils pourraient être des marqueurs de temps. Une révélation qui change notre compréhension des premières expressions artistiques de l’Homo sapiens.
L’urgence environnementale et sociétale que représente l’abandon des animaux exotiques a de plus en plus de répercussions sur les institutions vouées à la préservation de la biodiversité, comme le Bioparc de Genève. Face à une augmentation notable de ces abandons, le parc doit relever le défi de prendre soin de ces êtres sensibles tout en éduquant le public sur les implications de leur abandon.
Le calendrier, ce système de division temporelle que nous consultons quotidiennement, renferme en réalité de nombreuses énigmes historiques. Parmi elles, les noms des jours de la semaine sont loin d’être aussi arbitraires qu’ils pourraient le sembler de prime abord. Ils portent en eux l’héritage de nos ancêtres, des cultures anciennes et des croyances spirituelles qui ont traversé les âges. Chaque nom de jour est comme une fenêtre ouverte sur notre passé.
Substance toxique dans l’air, l’eau et le sol : un regard sur la répartition mondiale des substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS).
L’eau de pluie peut sembler innocente, pure et propre. Pourtant, les recherches récentes suggèrent que l’eau de pluie est loin d’être aussi sûre qu’elle peut paraître. Des études ont révélé la présence généralisée de substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS) dans l’eau de pluie à travers le monde, rendant cette eau potentiellement dangereuse à consommer.
Le permafrost, cette couche de sol gelée en permanence, recouvre près de 23 millions de kilomètres carrés dans l’hémisphère nord. Ce territoire immense, anciennement figé dans la glace, est maintenant menacé par le réchauffement climatique, qui pourrait déclencher des effets environnementaux et sanitaires catastrophiques.
La start-up Captura est à l’origine d’une révolution dans la lutte contre le réchauffement climatique: la capture du CO2 dans les océans. Ses fondateurs, Harry Atwater et Chengxiang Xiang, chercheurs de l’Institut de Technologie de Californie (Caltech), ont conçu une stratégie audacieuse pour accroître artificiellement la capacité d’absorption de CO2 par les océans, optimisant ainsi leur faculté naturelle à le séquestrer. En effet, depuis la révolution industrielle, les océans ont joué un rôle essentiel en absorbant près d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre dues à l’activité humaine.
Des scientifiques du monde entier sont en émoi après une découverte fascinante en Sibérie. Un ver microscopique du nom de Panagrolaimus kolymaensis a été réanimé après avoir passé près de 46 000 ans dans le permafrost sibérien. Cette créature minuscule, un nématode, a été extraite à une profondeur de 40 mètres dans le sol gelé, étonnamment encore vivante malgré son long sommeil glacé.
Changements climatiques et dérèglement de l’océan sont deux phénomènes interdépendants. La fonte des glaces, la montée des températures, l’acidification des eaux sont autant de facteurs qui influencent les courants marins, ces véritables autoroutes de l’eau. La Circulation Méridienne de Retournement de l’Atlantique (AMOC) est particulièrement concernée.
Dans les abysses mystiques du Pacifique, un ancien géant sous-marin a révélé un spectacle à couper le souffle : un volcan actif recouvert de milliers d’œufs géants. Auparavant considéré comme éteint, le volcan, qui s’élève à 3 600 pieds au-dessus du plancher océanique, a été découvert crachant de l’eau chaude et couvert de coraux des profondeurs. Les scientifiques ont été étonnés de découvrir que cet environnement marin offrait des conditions idéales pour certaines espèces, en particulier la raie Bathyraja spinosissima, qui a été vue déposant ses œufs sur le sommet de ce volcan sous-marin.